Une première loi transcrivant dans le code du travail l’accord du 11 janvier dernier devrait poser le cadre du CPF. Présentée en mars, elle ne suffira pas pour épuiser le sujet.
La loi de décentralisation présentée également au printemps conduira à une nouvelle répartition des compétences entre les Régions et l’Etat. Parallèlement, la concertation qui doit avoir lieu entre l’Etat, les Régions et les partenaires sociaux autour du Compte Personnel de formation pourrait accélérer cette évolution de la gouvernance de la formation.
Enfin, une loi consacrée uniquement à la formation professionnelle devrait être débattue à l’été. T.Repentin en a fixé les grandes lignes à travers ses voeux à la presse :
1) Précisions sur le compte personnel de formation,
2) Moyens supplémentaires pour l’apprentissage
3) Qualité des formations avec un cahier des charges commun à respecter par les organismes.
Après tout ça, on ne pourra pas dire que les politiques ne s’intéressent pas à la formation !
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